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je t'a.................
08/06/2006 20:25
Toi que j'ai tant aimé, Et que je n'arrive plus à oublier, Dès que je te vois, Mon coeur n'arrête pas.
Mes jours me paraissent interminables, Si seulement mes nuits étaient semblables, La journée je m'ennuie, Mais la nuit je suis en ta compagnie.
J'ai besoin de sentir sur moi, Tes mains qui me rendent folle de joie, Tes lèvres si pulpeuses, Qui me rendent si heureuse.
Et quand je touche ton corps si charnel, si sensuel, Il faut que je me rappelle, Que je n'aurais plus jamais la chance, D'être ainsi en ta présence.
A présent je veux que tu te souviennes, De toute nos joies et nos peines, Que nous avons partagé tous les deux, Pendant ces moments si joyeux.
Aujourd'hui tu es mon meilleur ami, Toi ça te suffit quand je me confie, Mais moi je ne peux pas m'en contenter, J'ai trop besoin de te toucher...
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de koi je suis capable
08/06/2006 20:23
J'ai amassé une fortune Et dépensé aucun centime. La vie a ses ruines : Tout deviendra dunes.
J'ai vécu prisonnier De ma propre activité. J'ai mené des batailles Sur le front du travail.
J'attendais patiemment Qu'au son de l'argent On sonne la retraite Pour regagner l'attente.
En rentrant, les genoux Se plièrent comme le dos ; Mon trésor de guerre Me portant, lourd, sous terre.
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mmmmm
08/06/2006 20:22
Petite, j'allais à l'école insouciante, Candide, avec des rêves pleins la tête. Je jouais au papa et à la maman parfois, À la dînette, alors libre dans mon choix.
Le mari est français, mes parents étrangers. Je savais d'où je venais et où j'allais. Cheveux au vent, me voici dans la quinzaine, L'âge où la vie rétrécit, croit la peine.
J'ai vu le vent tourné, la porte fermée. C'était prendre la porte ou bien accepter. J'ai voulu l'ouvrir... on m'a empêchée. L'honneur de famille est ma liberté.
Mes parents ont tranché en forçant mon destin. Je leur appartiens, précieuse chose des mains. J'ai plus le choix, patin pour le masculin, Sans sentiments, sans consentement, et sans rien.
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je...........
08/06/2006 20:20
J'étais trop naïve dans la fleur de l'âge. L'âme printanière, je rêvais du grand amour, Qu'on lit dans les romans, ses roses pages. J'ai aimé un garçon qui le portait un jour.
Mais, il a profité de ma candeur, fraîcheur, Pour marquer mon corps et mon âme à jamais. J'avais confondu le poison rouge et l'amour : Ma prison de verre est teintée de regrets.
L'amour de quinze ans brûle bien des ailes. Je me suis enflammée, portée par les vents, Des "faux amis" disant avoir touché le ciel, Caressé l'Amour. Cette autre vie du printemps.
Moi, j'ai touché par-terre, l'hiver en enfer, La tête la première. Autruche inconsolable. Je cache les larmes de la honte, peu fière, De cette erreur de jeunesse, irresponsable
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mes sentiment
08/06/2006 20:19
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L'amour parfois c'est gai, parfois c'est triste, ça fait soulever des montagnes, parfois ça fait souffrir et même ça donne envie de mourir, mais sans amour, la vie n'aurait certainement aucun sens.
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